Et si on commençait l’année 2025… Par un coup d’éclat ?
Le coup d’éclat, c’est le moment où le verre se brise, où le volcan entre en éruption.
C’est un moment de colère ou de ras-le-bol, de joie ou d’audace, de naissance ou de renaissance. Un moment où l’on sort de ses gonds.
En démocratie, parfois, le coup d’éclat dérange. Parfois, pourtant, il est nécessaire.
Pour dire stop, ou pour ouvrir une nouvelle voie.
Essayons, ensemble, de le mettre en scène !
- Grâce à un poème visuel en cœur et en corps qui illustre la quête de liberté du peuple tunisien au lendemain de la Révolution de jasmin, dans Nos ailes brûlent aussi, de Myriam Marzouki et Sébastien Lepotvin.
- En ouvrant grand les portes closes de la torture pendant la guerre d’Algérie, dans La Question, dans une mise en scène de Laurent Meininger du texte d’Henri Alleg, avec Stanislas Nordey.
- En écoutant la comédienne Naidra Ayadi lire les confidences anonymes recueillies et contées par Marie Nimier dans Confidences Tunisiennes.
- En continuant de rire, ou de se demander comment et si on peut encore, 10 ans après la tuerie de Charlie Hebdo, avec, notamment, Charline Vanhoenacker et la revue Kometa dans «Que sont-ils devenus ?»
- En déconstruisant et reconstruisant les illusions de l’enfance grâce au récit d’une petite fille rousse née dans une famille qui ne l’est pas, avec Marion Corralès et Céline Sallette, dans La Beauté intérieure.
Nous poursuivrons également nos scènes ouvertes :
Pour éclairer les liens entre IA et technologies avec Hugo Micheron lors d’une soirée dédiée à la remise du Prix scientifique Ada Lovelace.
Pour apprendre à se défendre des images grâce à l’Histoire, à l’occasion d’un atelier d’auto-défense contre les images proposé par Patrick Boucheron.
Pour interroger la francophonie, ses limites et son éventuelle imposture, avec Barbara Cassin, Armand Gauz et Elara Bertho, dans une séquence «De quoi la francophonie est-elle le nom ?» proposée par Pierre Singaravélou.
Pour lever le voile sur les ravages du djihadisme sur toute une fratrie, dans Mon Frère, le Djihad, Daech et moi de Magali Serre et Fatma A.
Pour examiner sans concessions le Capitalisme de l’apocalypse, avec Quinn Slobodian et Julia Cagé.
Pour repenser le soin et la vulnérabilité, grâce à notre cycle entamée avec l’Institut Sainte-Anne, mais aussi à la projection du film « Viens voir», de Christine Belhomme.
Grâce à une Chorale pop participative, animée par Marco Avallone, ténor et chef de chœur,d‘«Envie de Chanter» à laquelle nous vous convions tous pour chanter en chœur et collectivement !
Ainsi que les ateliers que nous proposons tout au long de l’année.
À l’année prochaine, au Théâtre de la Concorde !