Parler vrai, parler franc, qu’est-ce que ça veut dire ?
Ne plus taire : violences, traumatismes.
Garantir, coûte que coûte, l’existence de médias pluriels et leur donner les moyens de mesurer, d’analyser, d’informer. Tout en prenant conscience que la circulation de l’information est toujours un enjeu politique. Ne jamais tomber dans la polarisation du débat démocratique.
Laisser s’exprimer tout le monde : les jeunes et les moins jeunes, les femmes et les hommes, les auteurs, les historiens, les associations…
Célébrer la diversité et la porosité de nos différents modes d’expression : écriture, chants, poésie, slams…
C’est ce à quoi nous nous essaierons, en ce tout premier mois de notre programmation, grâce à des présentations de romans, représentations théâtrales, cartes blanches, scènes ouvertes, micros tendus aux associations, concerts et projections cinématographiques, aux côtés de locuteurs et de locutrices qui ont en commun l’envie d’échanger. Franchement.
Avec :
«Martyr», sous la direction d’Alexandre Lecroc-Lecerf
La scène ouverte de Mathieu Palain, pour présenter «Les hommes manquent de courage»
La Soirée de lancement de l’Observatoire Français des Atteintes à la Liberté de la Presse (OFALP)
«Kilimandjaro» : chant, poésie, slam de et avec Marc Alexandre Oho Bambe et ses invités
La scène ouverte à Delphine Minoui pour son nouveau roman, Badjens
La scène ouverte à Bernard Comment : «Savoir parler du cancer»
La projection du film de Nicolas Peduzzi : «Etat limite»
La scène ouverte à Pierre Singaravelou : «De quoi la francophonie est-elle le nom ?»
Le lancement du cycle musical de Paul Serri : quintette à deux violoncelles de Schubert
«Tête de lecture» par Yves Heck
La soirée de lancement de l’association Moteur!
«Que jeunesse se raconte», par Lauréline Kuntz avec la Mission locale de Paris
«Confidences tunisiennes», une lecture du roman de Marie Nimier par l’actrice Naidra Ayadi