Le Procès de la rentrée
Le Procès de la rentrée

Description
Une proposition de Stéphane Benhamou, d’après son roman La Rentrée n’aura pas lieu (Don Quichotte).
Et si on faisait la grève de la rentrée ?
Le 16 septembre, la France est toujours en vacances. Les écoles sont fermées, les bureaux vides, les autoroutes désertes. Douze millions de Français manquent à l’appel, sans revendication, sans meneur, sans slogan. Un phénomène aussi massif qu’insaisissable.
Faut-il y voir une désertion, une rébellion silencieuse, ou le symptôme d’un épuisement collectif ?
Le tribunal fictif se réunit pour comprendre : que s’est-il passé ? que nous dit ce non-retour sur notre société ?
La rentrée n’aura pas lieu, du roman à la scène
Réalisateur de films documentaires et producteur de programmes télévision, Stéphane Benhamou revisite l’histoire contemporaine à travers des images d’archives.
Ce procès fictif est librement inspiré de La Rentrée n’aura pas lieu (Don Quichotte Edition), un roman publié en 2016 dans lequel l’auteur imagine que des millions d’Aoûtiens ne reprennent pas le chemin de la rentrée, et tous les désordres politiques, économiques et sociaux qui en résultent.
Le procès fictif, pour mettre la démocratie en scène !
A la croisée du théâtre et du jeu démocratique, les procès fictifs sont devenus un format clef du Théâtre de la Concorde pour explorer les grands déséquilibres de notre époque sous l’angle du débat mis en scène. En confrontant intellectuels, artistes, témoins et figures publiques dans une salle d’audience imaginaire, ces soirées hybrides donnent au public un espace vivant pour comprendre, débattre, et imaginer.
Halte de fin d’été joyeuse et drôlatique qui intervient entre le Procès fictif en défense des droits de la Seine et le Procès fictif du patriarcat en bande organisée, Le Procès de la rentrée permet d’aborder avec esprit et humour des enjeux juridiques, politiques, philosophiques et sociologiques très sérieux !
Penseurs, politiques, syndicalistes et comédiens donnent corps à la grève de la rentrée
Le casting réunira, dans leur propre rôle :
- Dominique Méda – Philosophe et sociologue du travail
- Cécile Duflot– Directrice générale d’Oxfam France, femme politique, ancienne ministre du Logement et de l’Egalité des Territoires
- Philippe Martinez – Ancien secrétaire général de la CGT, membre du Comité d’orientation du Théâtre de la Concorde
- Serge Hefez – psychiatre et psychanalyste, auteur documentaire
Mais aussi des comédiens et des artistes pour incarner différents acteurs du monde judiciaire et représentants du ministère public :
- Laurent Natrella – Président du tribunal
- Jeanne Bazelaire – Agent ministériel et lanceur d’alerte involontaire
- Gilles Buffière – Greffier
Autres événements

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